Ali AKBAR

Dernier
crieur de journaux de Paris

Icône
de Saint-Germain-des-Prés

« Ca y est, ça y est ! la retraite à 35 ans ! Raffarin est d’accord. »

– Ali Akbar, cité  dans : je fais rire le monde… mais le monde me fait pleurer

ans de carrière

journaux vendus

Livres Parus

kilomètres parcourus (sans CO2)

fois le tour de la Terre

aller-retour Rawalpindi-Paris

SON HISTOIRE

Ali est né au Pakistan, en 1953.

Il a quitté son pays pour gagner sa vie et échapper à la misère.

Il parcourt le monde, à pied, en car, en bateau, et parfois même en avion : ses aventures le mènent en Chine, en Afghanistan, en Turquie, en Grèce, en Suisse, en Hollande…

C’est finalement en France qu’il se fixe, pour devenir le plus célèbre des vendeurs de journaux.

On dit souvent que l’humour est la politesse du désespoir : Ali a fait son fond de commerce de cette maxime.  Il détourne les unes les plus sinistres, quitte à les inventer purement et simplement, pour réjouir le quotidien de ses habitués.

Car son sourire et sa gentillesse, qu’il pleuve, qu’il vente, sont légendaires.

La fabuleuse histoire du vendeur de journaux qui a conquis le monde

Saint-germain-des-prés

Tous les habitués de Saint-Germain-des-Prés connaissent Ali : il est une des figures indispensables du quartier.

La mairie de Paris a même fait réaliser une fresque à son effigie, rue du Four.

Etudiants, hommes politiques, intellectuels, simples touristes ou habitants du quartier, ils lui achètent le journal, à la terrasse des restaurants et cafés.

Depuis plus de quarante ans qu’il arpente le boulevard, il connaît tout le monde, les commerçants, les habitués, tout ceux qui vivent et font vivre ce lieu magique de Paris.

En près d’un demi-siècle, lui qui était parti du Pakistan à pied, il est devenu l’un d’eux.

Ali incarne une partie de l’esprit de quartier. Mais il est aussi une passerelle entre les générations.

Il a vendu le journal aux philosophes du Café de Flore, de Jean-Paul Sartre, et à Bernard-Henri Lévy.

Les étudiants de SciencesPo qui lui achetaient le journal en sortant de leurs cours Rue Saint-Guillaume sont devenus maires, députés, ministres et parfois même Président de la République !

De gauche ou de droite, quand ils reviennent à Saint Germain flâner à Saint Germain et qu’ils croisent Ali, ils s’arrêtent pour l’embrasser et lui offrir un café : il est leur madeleine de Proust… 

Et qu’importe si, quand il lui achètent le Monde, ils l’ont souvent déjà lu sur leur smartphone. Acheter son journal à Ali, cela fait partie de l’expérience Saint-Germain-des-Prés. 

Le blog d’Ali

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Depuis 46 ans, Ali arpente le boulevard Saint Germain. Il fait environ 20 km par jour. Il prend, grand maximum, une quinzaine de jours de vacances par an. (Ça ne veut pas dire qu'il reste au lit, simplement, s'il marche pendant ces jours là, ce n'est pas pour vendre...

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Comme les journaux papier ne se vendent plus guère, et qu'à 66 ans, je dois envisager de renoncer à ma vingtaine de kilomètres à pied quotidiens, j'envisage de prendre la retraite. La Mairie a eu la gentillesse de m'accorder un emplacement dans le 6e, près du...

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